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L.G.D.J. 1998.
CUCHE Denys, La notion de culture dans les sciences sociales, Paris: La D couverte, 1996, 2001.
DEBRAY R gis, Cours de m diologie g n rale, Paris: Gallimard, 1991.
DJIAN Jean-Michel, La politique culturelle, Le Monde/Editions, 1997.
DUBOIS Vincent, La politique culturelle, Gen se d'un
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les rochers, je parcours ? grands pas tous les environs, et trouve partout dans les objets la m?me horreur qui r?gne au-dedams de moi. On n’apercoit plus de verdure, l’herbe est jaune et fl?trie, les arbres sont d?pouill?s, le s?chard et la froide bise entassent la neige et les glaces ; et toute la
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de la deuxi me dition.
Dans la premi re dition Baudelaire a mis l'accent sur la beaut ternelle et spirituelle et id ale, mais apr s la deuxi me dition il a insist sur le point de la r alit cruelle inhumaine et contradictoire de cette epoque pour son esth tique moderne.
Ainsi Baudelaire en r alisant
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De ce point de vue, les m decins de Moli re sont fid les aux traitements de la m decine traditionnelle.
Sur le plan dramaturgique, les m decins de Moli re, se divisent en deux cat rogies : les faux et les vrais. Face au refus des p res quant l'amour de leurs enfants, les filles ont souvent recours
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de son premier voyage en Afrique e 1894 et qui tait le d tonateur de toutes ses oeuvres. Aspiration la lib ration de la morale stagnante, acte gratuit, disponibilit , tout y est d j esquiss en attendant de s' panouir dans Les Nourritures Terrestres. Sans Le Prom th e mal encha n , nous ne saisirions
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