목차
I. 서론
II. 고대 의학이론과 17세기의 진료
III. 몰리에르 희극에 등장하는 의사들의 유형
1. 거짓 의사
2. 진짜의사
IV. 몰리에르 희극에 등장하는 의사들의 특징
1. 현학주의에 빠지는 근성
2. 직업적인 무능력
3. 금전에 대한 욕심
4. 희극적 효과의 주역
V. 결론
참고문헌
II. 고대 의학이론과 17세기의 진료
III. 몰리에르 희극에 등장하는 의사들의 유형
1. 거짓 의사
2. 진짜의사
IV. 몰리에르 희극에 등장하는 의사들의 특징
1. 현학주의에 빠지는 근성
2. 직업적인 무능력
3. 금전에 대한 욕심
4. 희극적 효과의 주역
V. 결론
참고문헌
본문내용
arion, 1965.
Michel de Montaigne, Essais II, dition annot e par Pierre Michel, coll.
Folio classique , Gallimard, 1965,
2. 연구서 및 단행본
Maurice Bariety / Charles Coury, Histoire de la m decine, Fayard, 1963.
Patrick Dandrey, Le cas Argan, Klinsieck, 1993.
Patrick Dandrey, La m decine et la maladie dans le th tre de Moli re, 2 volumes,
Klincksieck, 1998.
Paul-Emile Le Maguet, Le Monde m dical parisien sous le Grand roi, A. Maloine, 1899.
Mariane et G rard Milhaud, Moli re face la m decine de Thomas Diafoirus , in
Europe, Moli re combattant , janvier / f vrier 1966.
Fran ois Millepierres, La Vie quotidienne des m decins au temps de Moli re,
Hachette, 1964.
Pierre Ronzeaud, Les Femmes savantes / Le Malade imaginaire, coll. Texte et
contextes , Magnard, 1992.
Jean-Charles Sourina, Histoire de la m decine et des m decins, Larousse, 1991.
Jacqueline Sudaka-B naz raf, Le Malade imaginaire, Pocket, 1993.
* 위의 참고 문헌이 본 연구에서 모두 인용된 것이 아님을 밝힌다.
《 R sum 》
Les M decins dans les com dies de Moli re
Parmi les satires concernant les professions, celle des m decins fait l'objet des plus fr quentes moqueries dans les com dies de Moli re. Pour ce qui est de la cause d'une telle raillerie contre les m decins, certaines critiques voquent la mauvaise sant de l'auteur et la mort de ses proches. De plus, la tradition litt raire fran aise ainsi que celle des pays voisins comme l'Italie et l'Espagne pr sentent les m decins comme des personnages moins honorables qu'on ne le pense. Dans ce contexte la fois personnel et litt raire, les com dies de Moli re s'attachent se moquer des membres du corps m dical.
Avant d'aborder les traits communs aux m decins moli resques, il serait utile de faire un tat des lieux de la m decine traditionnelle de l' poque. Toujours d vou s la m decine antique dont les pr curseurs sont Hippocrate et Galien, les m decins du Grand si cle h sitent encore admettre les d couvertes r centes comme la circulation du sang et l'op ration chirurgicale du corps humain. D'apr s la th orie de la m decine antique, la maladie survient en cas de d s quilibre entre les 4 humeurs : le sang, le fl gme, la bile jaune et la bile noire. Ajoutons que la saign e et le lavement sont consid r s comme rem des tout faire en cas de maladie. De ce point de vue, les m decins de Moli re sont fid les aux traitements de la m decine traditionnelle.
Sur le plan dramaturgique, les m decins de Moli re, se divisent en deux cat rogies : les faux et les vrais. Face au refus des p res quant l'amour de leurs enfants, les filles ont souvent recours aux m decins d guis s. En revanche, les vrais m decins eux chouent toujours gu rir leurs malades, malgr leur statut honorable. Les m decins de Moli re montrent les traits communs suivants : le p dantisme exag r , l'incomp tence professionnelle, la cupidit sans r serve et le verbiage l' gard des patients. En ce qui concerne l'efficacit de la m decine, Moli re semble partager l'ath isme de Don Juan comme le signale B ralde du Malade imaginaire.
Michel de Montaigne, Essais II, dition annot e par Pierre Michel, coll.
Folio classique , Gallimard, 1965,
2. 연구서 및 단행본
Maurice Bariety / Charles Coury, Histoire de la m decine, Fayard, 1963.
Patrick Dandrey, Le cas Argan, Klinsieck, 1993.
Patrick Dandrey, La m decine et la maladie dans le th tre de Moli re, 2 volumes,
Klincksieck, 1998.
Paul-Emile Le Maguet, Le Monde m dical parisien sous le Grand roi, A. Maloine, 1899.
Mariane et G rard Milhaud, Moli re face la m decine de Thomas Diafoirus , in
Europe, Moli re combattant , janvier / f vrier 1966.
Fran ois Millepierres, La Vie quotidienne des m decins au temps de Moli re,
Hachette, 1964.
Pierre Ronzeaud, Les Femmes savantes / Le Malade imaginaire, coll. Texte et
contextes , Magnard, 1992.
Jean-Charles Sourina, Histoire de la m decine et des m decins, Larousse, 1991.
Jacqueline Sudaka-B naz raf, Le Malade imaginaire, Pocket, 1993.
* 위의 참고 문헌이 본 연구에서 모두 인용된 것이 아님을 밝힌다.
《 R sum 》
Les M decins dans les com dies de Moli re
Parmi les satires concernant les professions, celle des m decins fait l'objet des plus fr quentes moqueries dans les com dies de Moli re. Pour ce qui est de la cause d'une telle raillerie contre les m decins, certaines critiques voquent la mauvaise sant de l'auteur et la mort de ses proches. De plus, la tradition litt raire fran aise ainsi que celle des pays voisins comme l'Italie et l'Espagne pr sentent les m decins comme des personnages moins honorables qu'on ne le pense. Dans ce contexte la fois personnel et litt raire, les com dies de Moli re s'attachent se moquer des membres du corps m dical.
Avant d'aborder les traits communs aux m decins moli resques, il serait utile de faire un tat des lieux de la m decine traditionnelle de l' poque. Toujours d vou s la m decine antique dont les pr curseurs sont Hippocrate et Galien, les m decins du Grand si cle h sitent encore admettre les d couvertes r centes comme la circulation du sang et l'op ration chirurgicale du corps humain. D'apr s la th orie de la m decine antique, la maladie survient en cas de d s quilibre entre les 4 humeurs : le sang, le fl gme, la bile jaune et la bile noire. Ajoutons que la saign e et le lavement sont consid r s comme rem des tout faire en cas de maladie. De ce point de vue, les m decins de Moli re sont fid les aux traitements de la m decine traditionnelle.
Sur le plan dramaturgique, les m decins de Moli re, se divisent en deux cat rogies : les faux et les vrais. Face au refus des p res quant l'amour de leurs enfants, les filles ont souvent recours aux m decins d guis s. En revanche, les vrais m decins eux chouent toujours gu rir leurs malades, malgr leur statut honorable. Les m decins de Moli re montrent les traits communs suivants : le p dantisme exag r , l'incomp tence professionnelle, la cupidit sans r serve et le verbiage l' gard des patients. En ce qui concerne l'efficacit de la m decine, Moli re semble partager l'ath isme de Don Juan comme le signale B ralde du Malade imaginaire.