목차
1. 자연에 대한 개념의 변화
2-1. 새로운 감수성
2-2. 자연의 발견
3. 자연(낭만주의 선구자 루소 /낭만주의)
1) 문명에 대한 은신처로서의 자연
2) 신의 위대함의 표현으로서의 자연
3) 감수성의 거울로서의 자연
2-1. 새로운 감수성
2-2. 자연의 발견
3. 자연(낭만주의 선구자 루소 /낭만주의)
1) 문명에 대한 은신처로서의 자연
2) 신의 위대함의 표현으로서의 자연
3) 감수성의 거울로서의 자연
본문내용
e, se d?tourney au choc d’un obstacle comme une boule prend l’angle de r?flexion ; au lieu que celle qui suit plus vigoureusement sa course ne se d?tourney point, mais comme un boulet de canon, force l’obstacle ou s’amortit et tombe ? sa rencontre."
13 Jean Ehrard, L’id?e de nature en France dans la premi?re moiti? du XVIIIe si?cle, Gen?ve-Paris, Slatkine, p.63.
14 Henri Gouhier, Des m?ditations m?taphysiques de Rousseau, Paris, Librairie philosophique J. Vrin, 1970, p.401.
15 Robert Derath?, Le rationalsime de Jean-Jacques Rousseau, Paris, P.U.F., 1948, p.64.
16 Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle H?lo?se, Lettre XI, sixi?me partie, p.554. : "L’ ?tre ?ternel ne se voit ni ne s’entend ; il se fait sentir ; il ne parle ni aux yeux ni aux oreilles, mais au coeur."
17 Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle H?lo?se, letter XXVI, premi?re partie, p.54. : "Telle est la situation cruelle o? me plangent le sort qui m’accable et mes sentiments qui m’ ?l?vent, […] t’avoir vue et ne pouvoir te poss?der, t’adorer et n’ ?tre qu’un home, ?tre aim? et ne pouvoir ?tre heureux, habiter les m?mes lieux et ne pouvoir vivre ensemble!... […] Peut-?tre le s?jour o? je suis contribute-t-il ? cette m?lancolie ; il est triste et horrible ; il en est plus conforme ? l’ ?tat de mon ?me, […] Dans les violents transports qui m’agitent, et je ne saurais demeurer en place ; je cours, je monte avec ardeur, je m’ ?lance sur les rochers, je parcours ? grands pas tous les environs, et trouve partout dans les objets la m?me horreur qui r?gne au-dedams de moi. On n’apercoit plus de verdure, l’herbe est jaune et fl?trie, les arbres sont d?pouill?s, le s?chard et la froide bise entassent la neige et les glaces ; et toute la nature est morte ? mes yeus, comme l’esp?rance au fond de mon coeur."
13 Jean Ehrard, L’id?e de nature en France dans la premi?re moiti? du XVIIIe si?cle, Gen?ve-Paris, Slatkine, p.63.
14 Henri Gouhier, Des m?ditations m?taphysiques de Rousseau, Paris, Librairie philosophique J. Vrin, 1970, p.401.
15 Robert Derath?, Le rationalsime de Jean-Jacques Rousseau, Paris, P.U.F., 1948, p.64.
16 Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle H?lo?se, Lettre XI, sixi?me partie, p.554. : "L’ ?tre ?ternel ne se voit ni ne s’entend ; il se fait sentir ; il ne parle ni aux yeux ni aux oreilles, mais au coeur."
17 Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle H?lo?se, letter XXVI, premi?re partie, p.54. : "Telle est la situation cruelle o? me plangent le sort qui m’accable et mes sentiments qui m’ ?l?vent, […] t’avoir vue et ne pouvoir te poss?der, t’adorer et n’ ?tre qu’un home, ?tre aim? et ne pouvoir ?tre heureux, habiter les m?mes lieux et ne pouvoir vivre ensemble!... […] Peut-?tre le s?jour o? je suis contribute-t-il ? cette m?lancolie ; il est triste et horrible ; il en est plus conforme ? l’ ?tat de mon ?me, […] Dans les violents transports qui m’agitent, et je ne saurais demeurer en place ; je cours, je monte avec ardeur, je m’ ?lance sur les rochers, je parcours ? grands pas tous les environs, et trouve partout dans les objets la m?me horreur qui r?gne au-dedams de moi. On n’apercoit plus de verdure, l’herbe est jaune et fl?trie, les arbres sont d?pouill?s, le s?chard et la froide bise entassent la neige et les glaces ; et toute la nature est morte ? mes yeus, comme l’esp?rance au fond de mon coeur."